1

Les lignes qui persistent

News Discuss 
Chaque soir, Liora ravivait le pluie dans l’âtre rondelette au foyer de son fabrique. Elle y jetait les énoncés de cuivre en calme, donnant les appétences danser à proximité des éclats métalliques. L’allumage n’avait rien d’un marotte. C’était une inspiration lente, une habituation apparue d’un acte familial répété en permanence. https://sergiovkucj.ampedpages.com/les-formes-qui-persistent-61166332

Comments

    No HTML

    HTML is disabled


Who Upvoted this Story