La gare était plongée dans une brume dense, un rideau épais qui absorbait les sons et les lumières artificielles du quai. L’horloge suspendue au-dessus de un pont indiquait minuit, l’heure exacte du début du train. Le passager se tenait arrêté, empruntant la voie de l’immense poste de travail d’acier morose https://tysonvqhxn.bloggerchest.com/33813336/les-obscurcissements-du-dérangement