La nuit enveloppait Babylone d’un silence dense, simplement géné par le murmure du vent qui caressait les feuillages suspendus. Le jardinier se tenait devant le bassin, son regard plongé dans l’eau morne où la oeil semblait inscrire. Ce qu’il avait aperçu la veille n’était pas une gravure. Une puissance inconnue https://andreslzhnt.loginblogin.com/41166054/l-ombre-du-présent