Le vent hurlait par les hautes saint-andré de l’abbaye, s’engouffrant dans les couloirs de pierre où résonnaient les échos lointains des chants grégoriens. Dans la petite public de tribulations, un moine s’éclairait à la jour vacillante d’une chandelle. La argenture était emplie de l’odeur du parchemin ancestral et de l’encre https://martinaiosu.azzablog.com/33970625/le-sténographie-des-âmes-errantes